Lève les Yeux ! est une association loi 1901 à but non lucratif fondée en juin 2018 par des amis inquiets face à tous ces yeux baissés… Présents à Marseille et à Paris, nous luttons contre la dépendance aux écrans par la reconquête de l’attention et la promotion de la déconnexion. Nous animons des ateliers de prévention auprès d’enfants, adolescents et parents, proposons un Label de lieux déconnectés, et participons au plaidoyer du Collectif Attention.
Notre assemblée générale annuelle a lieu au mois de juin. Le conseil d’administration se réunit plusieurs fois par an, et des réunions de Bureau se tiennent chaque mois pour les affaires courantes. Nous organisons aussi des réunions informelles tous les deux mois dans l’un de nos lieux labellisés, pour discuter le temps d’une soirée déconnectée !
Nos statuts sont accessibles ici.
Conseil d’administration

Thomas Hugues, co-président.

Florent Souillot, co-président et co-fondateur.
Responsable du numérique chez Gallimard–Flammarion.

Maxime Louis, trésorier.

Fanny Morère, secrétaire.
Chargée de production de projets artistiques et culturels.


Co-fondateur d’hérétique

L’équipe de Lève les Yeux !

Yves Marry, délégué général et co-fondateur.

A Marseille, Léa Maï Abuissa, facilitatrice en intelligence et création collective.

À Paris, Maryse Gayet,
travailleuse sociale et sculpteuse.

À Paris, Elsa Jauberty,
comédienne et metteuse en scène.

À Marseille, Léo Derivot,
photographe et vidéaste.

A Marseille, Sarah Limorte, professeure de yoga

À Marseille, Aude-Lise Bémer,
coach pédagogique et traductrice.

À Nice, Vincent Gambardella,
formateur en communication.
L’année en chiffres (juin 2020 à juin 2021)
Cette année, marquée par le Covid, s’est traduite par une réduction notable des participations à des évènements, une mise en pause forcée du « Label », et un impact certain sur la vie interne, en limitant drastiquement les rencontres « réelles ». Sur le front des activités, Lève les yeux a toutefois continué à se développer avec la mise en œuvre des premiers projets d’ateliers subventionnés, et donc une hausse massive du nombre d’ateliers à Marseille, la continuation du plaidoyer et l’obtention de moyens financiers qui lui donnent une perspective de long terme.